J'aurais pû vous narrer ma sortie du jour...
Parti la fleur au guidon (non, 'y rien à faire, va falloir que j'oublie cette expression, la fleur au bout de quelque chose, je ne peux pas m'empêcher d'imaginer Jipette en lieu et place de la dîte fleur, assis sur ma potence par exemple, ça va pas du tout ça), disons plutôt... parti relax, pépenne, à l'aise dans mes tennis, pour un petit tour d'une vingtaine de bornes.
Forcément, j'avais avec moi mon pôte Fred qui d'habitude fait partie des 22 fondus qui courent derrière le même ballon tout le dimanche après midi en espérant être celui qui coure plus vite que les autres, ou qui donne des plus gros coups de coude (ou d'épaule, ne jouons pas sur les mots, en tout cas c'est pas joli, joli, en plus 'y plein d'témoins tout autour !) et qui une fois qu'il l'a récupéré, ne trouve rien de plus drôle que de foutre un grand coup de pied dedans pour le r'filer à un autre mec en bleu, en vert ou en je ne sais quelle autre couleur bien flashie (comme si nous on avait des maillots flashis, hein les gars !) qui, deux minutes avant, courait lui aussi derrière ce foutu ballon... Décidément j'comprendrai jamais rien au foot... Du coup, comme i' passe pas son temps assis sur un bout d'cuir comme moi mais qu'i' préfère taper d'dans, j'm'étais dit qu'i's'rait p't'être moins à l'aise avec les crampons sur les pneus au lieu de les avoir sous les godasses (remarquez que j'ai pas vérifer quelles pompes il portait ?).
Mais c'est que l'gars Fred, à force de courir tous les dimanches derrière son outre toute gonflée (alors que nous on s'la colle su'l dos avec de l'eau d'dans, pas c... les gars), ou d'être autour du terrain à crier (j'aurais bien écrit autre chose, mais je crois qu'on est plus les seuls à lire le blog Rico, faut que j'fasse gaffe et que j'surveille mon vocabulaire, j'crois bien qu'ma mère aussi le lit... Ca m'fait penser qu'j'avais un truc à lui dire... ça va m'rev'nir...), et be c'est qu'il a une sacrée santé l'gaillard, ce qui fait qu'au bout de dix bornes, quand il s'est agit de faire demi tour pour rentrer au bercail, ben il en r'demandait encore, du coup on a rajouté une petite boucle de douze, on a appuyé un peu plus fort et on est rentré après trente deux bornes encore bien grasses et piquantes (ouais, c'est ça, les orties...).
Bref, j'aurais pû faire ça, j'aurai dû faire ça, vous raconter par le menu notre petite escapade matinale et dominicale, ou bien encore vous donner les dernières nouvelles de la préparation des 24 heures, parce que c'est quand même pour ça que j'ai créé ce blog, mais que nenni, là n'est pas mon intention, là n'est pas mon objectif en écrivant ces quelques lignes, parce que vous l'vallez bien, parce que c'est pas ma fête aujourd'hui, alors...
...BONNE FETE MAMAN !
Bonne fête aux Mamans de tous les tabayos et à celles qui nous attendent pendant qu'on va faire les pitres sur nos spads, qui nous préparent de bons p'tits plats pour nous r'quinquer à notre retour, qui nous nettoient nos tenues (et dieu sait qu'en ce moment 'y a du taf !), qui nous supportent au propre (si une fois qu'les fringues sont sorties de la machine...) comme au figuré et que nos chères petites têtes blondes (c'est juste une expression hein, ça marche aussi avec les brunes, non j'dis ça c'est pour La Crêpe parc' qu'à mon avis...) appellent Maman.
Bonne fête les Mamans (et les futurs Mamans aussi) !
...J'savais bien qu'ça allait m'rev'nir...
Parti la fleur au guidon (non, 'y rien à faire, va falloir que j'oublie cette expression, la fleur au bout de quelque chose, je ne peux pas m'empêcher d'imaginer Jipette en lieu et place de la dîte fleur, assis sur ma potence par exemple, ça va pas du tout ça), disons plutôt... parti relax, pépenne, à l'aise dans mes tennis, pour un petit tour d'une vingtaine de bornes.
Forcément, j'avais avec moi mon pôte Fred qui d'habitude fait partie des 22 fondus qui courent derrière le même ballon tout le dimanche après midi en espérant être celui qui coure plus vite que les autres, ou qui donne des plus gros coups de coude (ou d'épaule, ne jouons pas sur les mots, en tout cas c'est pas joli, joli, en plus 'y plein d'témoins tout autour !) et qui une fois qu'il l'a récupéré, ne trouve rien de plus drôle que de foutre un grand coup de pied dedans pour le r'filer à un autre mec en bleu, en vert ou en je ne sais quelle autre couleur bien flashie (comme si nous on avait des maillots flashis, hein les gars !) qui, deux minutes avant, courait lui aussi derrière ce foutu ballon... Décidément j'comprendrai jamais rien au foot... Du coup, comme i' passe pas son temps assis sur un bout d'cuir comme moi mais qu'i' préfère taper d'dans, j'm'étais dit qu'i's'rait p't'être moins à l'aise avec les crampons sur les pneus au lieu de les avoir sous les godasses (remarquez que j'ai pas vérifer quelles pompes il portait ?).
Mais c'est que l'gars Fred, à force de courir tous les dimanches derrière son outre toute gonflée (alors que nous on s'la colle su'l dos avec de l'eau d'dans, pas c... les gars), ou d'être autour du terrain à crier (j'aurais bien écrit autre chose, mais je crois qu'on est plus les seuls à lire le blog Rico, faut que j'fasse gaffe et que j'surveille mon vocabulaire, j'crois bien qu'ma mère aussi le lit... Ca m'fait penser qu'j'avais un truc à lui dire... ça va m'rev'nir...), et be c'est qu'il a une sacrée santé l'gaillard, ce qui fait qu'au bout de dix bornes, quand il s'est agit de faire demi tour pour rentrer au bercail, ben il en r'demandait encore, du coup on a rajouté une petite boucle de douze, on a appuyé un peu plus fort et on est rentré après trente deux bornes encore bien grasses et piquantes (ouais, c'est ça, les orties...).
Bref, j'aurais pû faire ça, j'aurai dû faire ça, vous raconter par le menu notre petite escapade matinale et dominicale, ou bien encore vous donner les dernières nouvelles de la préparation des 24 heures, parce que c'est quand même pour ça que j'ai créé ce blog, mais que nenni, là n'est pas mon intention, là n'est pas mon objectif en écrivant ces quelques lignes, parce que vous l'vallez bien, parce que c'est pas ma fête aujourd'hui, alors...
...BONNE FETE MAMAN !
Bonne fête aux Mamans de tous les tabayos et à celles qui nous attendent pendant qu'on va faire les pitres sur nos spads, qui nous préparent de bons p'tits plats pour nous r'quinquer à notre retour, qui nous nettoient nos tenues (et dieu sait qu'en ce moment 'y a du taf !), qui nous supportent au propre (si une fois qu'les fringues sont sorties de la machine...) comme au figuré et que nos chères petites têtes blondes (c'est juste une expression hein, ça marche aussi avec les brunes, non j'dis ça c'est pour La Crêpe parc' qu'à mon avis...) appellent Maman.
Bonne fête les Mamans (et les futurs Mamans aussi) !
...J'savais bien qu'ça allait m'rev'nir...
1 commentaire:
merci à vous.....36 ans c' est que commence a'm faire vieux . alors respects p' tits c....c' est qu'y'm 'foutraient dans'l'trou !
y'a pas si longtemps ,j' avais la truffe humide et le z' oeil vif , et v'la ti pas qu'2 mois d'plus et t'es vieux...va comprendre Charles
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