lundi 25 mai 2009

Photo souvenir

RomainJuju
Fafa



Régis

Roro




La crepe

Elle est pas belle la fine équipe??????????????????????????????





dimanche 24 mai 2009

Alléluia...

Alléluia mes frères !

Alléluia, le BushMaines est grand !

Alléluia mes frères riders !

Le Bushmaines est descendu parmis nous et m'a parlé...

Alléluia mes frères VTTistes !

BushMaines est venu à nous en ce dimanche matin et sa grâce nous a touché nous ses 820 fidèles réunis en son église de Saint Georges de Montaigu...

Alléluia mes frères de galère !

Qu'on se le dise le BushMaines est grand et nul ne peut rivaliser avec sa lumière...

Alléluia mes frères cyclistes cramponnés !

BushMaines est venu à nous et m'a chargé de porter sa bonne parole...

BushMaines est grand, BushMaines est très grand, cinquante et un kilomètres parceque je n'ai pas fait toutes les spéciales et milles mètres de dénivelé (positif bien sûr mais il faudrait aussi compter le négatif tant celui si est impressionnant).

Alléluia mes frères !

Portez la bonne parole du BushMaines car il est souffrance et repentir...

Oh oui j'ai souffert en grimpant la première côte qui n'était rien de moins qu'un escalier à longues marches et qui se trouvait juste à cents mètres du départ, j'ai souffert encore dans les longues montées de coteaux, sur les rares portions de plats, sur un sol lourd, gras, fait de terre meuble, de boue, de terreau de sous bois ou de tôle ondulée, oh oui j'ai souffert et j'ai craint le pire dans les descentes techniques, en dévers, glissantes, raides et pleines de virages ou se terminant dans des ruisseaux, oui j'ai souffert jusqu'au panneau indiquant la bifurcation entre le 46 et le 56...

Alléluia mes frères ! BushMaines est amour...

BushMaines nous aime mes frères crotteux !

Je me suis repenti d'avoir fait demi tour alors que m'engageant sur le chemin de la "facilité" (c'est à dire du 46) j'ai finalement choisi de suivre la grande lumière d'amour de BushMaines (c'est à dire la flèche indiquant le 56), oh oui je me suis repenti en affrontant milles suplices juste après mais BushMaines est grand et sa lumière nous guide...

Alléluia mes frères suants et transpirants ! BushMaines nous aime et nous guide...

Jamais perdu tu ne seras avec BushMaines car trois plutôt qu'une flèche il mettra sur ta route pour te guider, ses anges en gilets jaunes t'aideront pour traverser les routes et ses chevaliers à plus gros crampons que toi fermeront la marche pour ne point te laisser seul en arrière du troupeau...

Alléluia mes frères !

BushMaines veille sur son troupeau et le nourri, trois ravitos il mettra à ta disposition pour te remettre de ses épreuves, des douches chaudes, non brulantes et un bon casdale à la baguette bien fraîche et à la poitrine grillée accompagnée d'une bonne binouze bien glacée il te donnera lorsque tu arriveras enfin au terme de ton long chemin de croix (c'est à dire après cinquante et un kilomètres si comme moi tu ne fais pas toutes les spéciales, milles mètres de grimpette, trois heures cinquantes le séant sur la selle de ton fidèle destrier qui n'en pourra plus lui non plus et que tu n'arriveras pas à nettoyer comme il faut malgré la puissance des jets et une moyenne époustoufflante de treize kilomètres par heure).

Mais tu seras heureux de dire avec moi : "Alléluia mes frères ! BushMaines est immense et nul ne lui arrive à la soquette, pas même Rochefortiche qui était mon guide jusqu'alors...".

Alléluia mes frères ! J'ai souffert, je me suis repenti mille fois mais je suis fier aujourd'hui de faire parti du troupeau...

Oui je suis une brebis rouleuse et marcheuse car le chemin de BushMaines est vraiment très dur, une brebis heureuse.

Amen mes compagnons riders devant l'éternel.

lundi 18 mai 2009

Que demander de plus...

Une dizaine de jours à traîner un vieux mal de dos et ce matin, plus rien.

Une soirée un peu réussie (léger euphémisme pour dire en fait que l'on ne s'est pas couché de bonne heure et avec quelques grammes superflus de surcroît) et pas un poil de jeu dans les voiles, pas l'ombre du début d'un commencement de mal de tête.

La météo qui vous annonçait la veille des trombes d'eau et en se levant la pelouse fraîchement tondue est sèche comme en plein mois d'août, tout juste un vent à décorner les cocus soufflant en rafales (aïe...).

Pas un chat sur la route et à l'arrivée cinq bonnes minutes de moins que prévu, heureusement d'ailleurs car à cinq cents mètres du panneau Rochefort s/Loire le portable commence déjà à sonner.

C'est Roro, il est déjà à l'inscription et alors que la veille il m'a déjà (oui je sais ça fait beaucoup de "déjà" en peu de temps mais c'est une technique dont j'ai oublié le nom qui permet de renforcer ce que l'on veut montrer) appelé à vingt deux heures pour me demander : "Bon alors on se donne rendez vous où, à quelle heure, tu fais combien demain, 50 ou 65 ?", ce à quoi j'ai à nouveau répondu (car depuis une semaine les échanges de mails ont été bon train pour définir tout ça) qu'on a dit huit heures pour un départ maxi huit heures trente sur le cinquante, il me demande : "Bon, on s'retrouve où, tu fais le 50, c'est sûr ?"...

A peine garé sur le champ fraîchement "tondu" lui aussi (en référence à ma pelouse bien sûr parce que moi c'est barbe d'une semaine comme d'hab', ouais je sais on s'en fout dans l'récit mais c'est pour casser le rythme un peu sinon j'ai peur que vous vous endormiez) j'apperçois mon Roro. Ca fait plaisir de l'revoir depuis si longtemps, pour un peu j'l'embrasserais tiens. Il me laisse à peine le temps de fermer l'auto et m'entraîne aussitôt vers les inscriptions et un bon café (pour une fois qu'on nous sert pas un infâme jus de chaussette à la mode anglo-saxonne ça fait plaisir, je commence déjà à moins regretter le tarif quelque peu élevé à mon goût), "Tu fais l'50 c'est sûr ?", mais oui, je n'ai pas plus les jambes qu'il y a cinq minutes pour me lancer sur le soixante cinq.

De retour aux voitures et chacun s'en va vaquer à ses préparatifs, le gars est excité comme une puce, comme d'hab... Tout en sortant le spad je relève la tête de temps en temps pour essayer d'appercevoir une autre tête connue et c'est La Crêpe qui pointe son nez en second, lui aussi je ne l'ai pas revu depuis plusieurs mois, moins longtemps quand même que Roro puisqu'il est venu me narguer sur mes terres avec Tom alors que je ne pouvais pas rouler faute de bras gauche. Lui aussi est chaud bouillant et pressé d'en découdre ça se sent, bien, il faudra bien ça car sur le chemin en voiture j'ai croisé le parcours à plusieurs reprises, en guettant des visages familiers j'ai commencé à "apprécier" le paysage et il va falloir être motivés à mon avis.

Juju et Romain arrivent bientôt, les deux nantais ne semblent plus craindre grand chose, ils roulent soixante dix kilomètres et plus ensemble, alors cinquante... Ca fait du bien d'avoir tout se petit monde, tous aussi cools les uns que les autres avec une envie commune, rouler et prendre du bon temps.

Le p'tit (j'me comprends, j'me comprens) dernier à arriver, c'est Régis, comment le décrire lui que je découvre aujourd'hui... La force tranquile, ce slogan bien connu lui va comme un gant je trouve, gentillesse, calme et puissance de premier abord et tout ça ne se démentira pas sur le parcours, une vrai bonne recrue et certainement un bon compagnon de réjouissances.

Tout le monde est là, en tout cas tout ceux qui étaient sensés se retrouver en cette matinée de dimanche, six copains de bonne humeur, motivés (et dieu sait, lui, qu'il faudra l'être) pour attaquer les cinquante kilomètres de la Rochefortiche, vraiment que demander de plus...

A peine engagés sur le parcours, cent mètres de bitume pour sortir du parking et du bourg, nous tombons nez à nez avec un mur, pas d'échauffement, nous ne pourrons pas mouliner tranquillement pendant un ou deux kilomètres histoire de chauffer un peu les muscles et le fessier, non, voilà qu'il faut déjà escalader le coteau, une longue, très longue montée sur un chemin pentu, nous voyons au loin les petites tâches de couleurs des maillots de ceux qui en ont presque terminé avec la toute première ascencion de cette rando qui nous en a réservé beaucoup d'autres.

Le paysage est magnifique, la Corniche angevine, un promontoir qui surplombe la vallée de la Loire d'un côté et se prolonge en de multiples coteaux de l'autre sur lesquels pousse la vigne à perte de vue. Pendant cinquantes kilomètres ce ne sera qu'une longue, très longue, succession de montées raides et longues elles aussi, ponctuée de descentes rapides et raides, elles aussi. un magnifique parcours, physique et exigeant, tout le temps, ludique parfois, technique aussi, du vrai VTT comme on aimerait en faire plus souvent.

Les machines et les pilotes furent mis à rude épreuve, quelques chutes, une crevaison et surtout pour ceux qui sont coutumiers des circuits plus "roulants", la découverte des gros dénivelés, huit cent dix mètres de positif pour cette sortie. Au final, un bon cinquante bornes, trois heures et demie à pédaler et une moyenne à presque quinze, plus qu'honorable sur un profil comme celui de la Rochefortique et des VTTistes heureux mais rincés.

Une bon décrassage des spads, une bonne douche froide plus loin et nous avons terminé tous ensemble autour d'une assiette garnie plus que bien venue, rendez vous est pris pour l'année prochaine je crois, encore plus nombreux si les évènements le permettent.

Vraiment une belle journée, que demander de plus ? Je serai tout seul en rentrant tout à l'heure mais ce n'est pas grave, cela me laissera le temps de bien nettoyer le vélo qui en a grand besoin, surtout que le soleil est maintenant de la partie, peut-être de grignoter un petit quelque chose de plus et pourquoi pas d'en écraser une petite.

Que demander de plus ? Euh, les clés de la maison peut-être...

lundi 4 mai 2009

Une défaillance ??

Mon Fafa , la différence entre les deux " sortie " ne s' appellerait pas .......................Séverine par hasard ?? M 'enfin , une Sévrinithe aïgue , il y a pire comme maladie !!!!!!

Pour ce qui est de la sortie de dimanche , bonne nouvelle.....................ça sera sans moi !! C 'est pas que je ne veux pas , mais là , franch'ment ch' peu ' point......

Bonne sortie à tous ceux qui y seront et bises à vos femmes.
Et , n' oubliez pas On the road again ..........Mr Moltes.
Rico

Les pieds dans l'plat...

On s'emballe, on s'emballe, on fait une petite sortie de 54 kilomètres en étant pas trop mal et on s'croit tout permis, y compris d'affronter le plat pays de Monts (paradoxale ça non ? enfin...).

Si on m'avait dit que rouler 57 bornes sur du plat serait plus difficile que de se colleter les côteaux de la Moine pendant 54, j'l'aurais sans doute pas cru tout de suite. Mais là je dois bien me rendre à l'évidence, de deux choses l'une, ou bien il y a une semaine je pétais une forme de tous les diables ou bien rouler sur du plat est plus costaud que de prendre des bosses ?

Certes j'ai roulé un peu plus vite, 21,5 de moyenne contre 18 il y a une semaine mais cela ne peut pas tout expliquer, le coup de barre sur les 2 ou 3 derniers kilomètres, le froid ressenti, l'envie de dormir toute l'après midi, non décidément il doit y avoir une autre explication et je n'aimerais autant pas que ce soit le fait qu'il y avait des bosses...

Quoi qu'en fait, qui dit montée dit descente, le sel de la vie, au moins du VTT en tout cas. Va savoir, faut p't-être des montées pour faire une bonne rando ? Qui l'eut cru, moi qui regretterais presque (ouais attends c'est pas prouvé quand même le coup des montées et des descentes) que ça grimpe pas un peu plus pendant une sortie...

Pour le sûr, je ne vous conseille pas l'île de Noirmoutier pour le VTT, restez dans la forêt de Monts, là c'est du Tout Terrain au milieu des arbres, des p'tits zoziaux et tout et tout alors que Noirmoutier... j'chui chûr que l'terrain est moins monotone du côté d'Lille.

M'est avis que cette théorie fumeuse (je parle pas de Lille là hein, de c'qu j'ai écrit plus haut sur les bosses et ce qu'il y a derrière en général) va vite se trouver confronter à la réalité du terrain dimanche prochain lors de la rand'omelette et la semaine suivante à la Rochefortiche.

Qui qu'y sera à l'une ou à l'autre ? Postez donc un p'tit commentaire qu'on s'fasse un petit point.